Association d'étude et de recherche sur l'apiculture traditionnelle
Apistoria

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Résumés du cahier

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La Lozère et le Puy de Dôme, départements du Massif Central français

La nature façonne les paysages dans lesquels l’homme laisse son empreinte. L’importance du patrimoine apicole bâti, comme tout autre patrimoine vernaculaire, ne peut s’appréhender qu’au travers de la connaissance de son contexte régional. C’est pourquoi nous avons souhaité replacer chacun des deux circuits présentés dans son environnement naturel : relief, climat, végétation mais aussi au travers de ses traditions et coutumes populaires. La Lozère et le Puy-de-Dôme, départements du Massif Central français, ont des patrimoines apicoles bien différents. Tournée vers le sud dans sa partie cévenole, la Lozère est une région qui a su préserver sa faune et sa flore. Les traditions apicoles y restent bien ancrées. L’apiculture ancestrale avec ses ruches creusées dans les troncs de châtaignier, peuplées de l’abeille locale et regroupées dans des enclos en pierre sèche, côtoie l’apiculture actuelle.Le Puy-de-Dôme, région de lacs, volcans  et plaines fertiles s’est progressivement ouvert sur l’industrialisation et la mécanisation agricole, autour des principales villes.  Son patrimoine apicole traditionnel, souvent intégré dans les bâtiments d’habitation ou d’exploitation agricole est aujourd’hui largement remplacé par une apiculture moderne.

Le rucher du Castelet des Crozes /Jean Courrènt

Le château du Castelet des Crozes, construit à la fin du XVIIIe siècle, est situé à Castelnaudary, dans le département de l’Aude (France).  C’était, à l’origine, une ancienne demeure médiévale avec ses dépendances. Les plans du XVIIIe siècle nous révèlent les traces d’un abri à abeilles et d’un rucher couvert. L’abri comporte 9 loges réservées aux abeilles, délimitées tous les 5m par des renforts bâtis, le long du mur de support d’un verger et d’un potager. De grosses dalles de pierre portaient les ruches qui étaient alignées par 5 dans chaque loge. Le rucher couvert, situé en limite de propriété, comporte un toit de tuiles à 2 pentes, sous lequel 10 ruches étaient placées sur une banquette de 10 m de long, coupée par un pilier de soutien du toit. Un certain nombre de questions se posent concernant ce rucher et quelques éléments de réponse sont avancés.

Entre Corbières et Minervois au temps des bucs. L’apiculteur et ses outils / Jean Courrènt 

La première partie du texte nous rappelle ce qu’est un apiculteur et quel est son travail. La seconde partie, quant à elle, nous décrit son accoutrement et les outils qu’il utilisait dans un passé relativement récent, mais révolu, tout particulièrement en Occitanie. L’auteur pose la question de savoir, si le paysan-apiculteur était un homme (ou une femme) comme les autres, solitaire, misanthrope, ou poète. Utilisait-il toujours un accoutrement spécifique ? Comment s’y prenait-il  pour enfumer les abeilles avant de récupérer leur miel ? Quels outils mettait-il en œuvre pour prélever les rayons de miel, les nettoyer, pour chasser les abeilles, lors de la récolte, pour récupérer les essaims, en particulier, lorsque ceux-ci étaient réfugiés à grande hauteur. Comment et dans quel récipient, le miel était-il recueilli ? 

La ruche en terre cuite de Caves / Jean Courrènt

La découverte de tessons à Caves, dans le département de l’Aude, a permis de déterminer qu’ils faisaient partie d’une ruche en céramique, montée au colombin, dont il a été possible de définir les caractéristiques. Cette ruche verticale se trouvait parmi des ruches en planches et ne peut être confondue avec les ruches horizontales en terre cuite.  De nombreuses hypothèses ont été avancées à son sujet conduisant l’auteur à rechercher des éléments de réponse dans la littérature apicole et auprès des anciens. La conclusion qu’il en tire est qu’une fois de plus la recherche en apiculture traditionnelle est aléatoire et qu’il y a toujours un risque que soit écartée par ignorance, une voie qu’il aurait fallu explorer. 

La ruche Mona/Jean Bouchet

La ruche populaire à rayons fixes adoptée par la Société Tessinoise d’Apiculture a été mise au point par Agostino Mona en 1876. C’est une ruche mixte, en bois, qui peut contenir huit rayons fixes disposés dans le sens de la longueur et, dans le magasin à miel posé au dessus, neuf cadres mobiles disposés dans le sens de la largeur. Cette ruche qui pouvait être utilisée aussi bien par les « fixistes » que par les « mobilistes » devient ainsi, aux dires de Henri Hamet, « une ruche de conciliation ».

Evolution historique de la ruche d’après Ruttner/Jean Bouchet &Gaby Roussel

A l’occasion du 27ème Congrès d’Apimondia d’Athènes en 1979, l’entomologiste autrichien Friedrich Ruttner, a donné une conférence sur l’évolution historique de la ruche. S’appuyant sur bon nombre de photos et schémas explicatifs, il a montré les cheminements qui, au cours du temps, ont fait évoluer différents modèles de ruches pour arriver, vers 1850, aux ruches à cadres mobiles à ouverture supérieure ou postérieure. 

Souvenirs/ Bernardo Lliteras Mulet

L’auteur nous raconte deux anecdotes qui remontent aux années où son musée de l’apiculture était ouvert au public.  La première nous parle d’objets à classer dans la rubrique « les ennemis des abeilles ». La deuxième relate comment un petit garçon qui avait aspergé de peinture les abeilles de son père a permis  de déterminer la distance qu’elles avaient pu parcourir.

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Lozère and Puy-de-Dôme, departments of the French Massif Central

Nature shapes landscapes in which man leaves his mark. The importance of built beekeeping heritage, like any other indigenous heritage, can only be understood through knowledge of its regional context. That is why we wanted to place each of the two circuits presented in its natural environment: relief, climate and vegetation but also through its traditions and popular customs. Lozère and Puy-de-Dôme, departments of the French Massif Central, have very different apicultural heritages. South-facing in its Cévenole part, Lozère is a region that has preserved its fauna and flora. Beekeeping traditions remain well anchored. Ancestral beekeeping with its beehives dug into chestnut trunks, populated by the local bees and grouped in dry stone enclosures, rubs shoulders with present-day beekeeping. The Puy-de-Dôme region of lakes, volcanoes and fertile plains has gradually opened up to industrialization and agricultural mechanization around the main cities. Its traditional beekeeping heritage, often integrated into residential or farm buildings, has now been largely replaced by modern beekeeping.

The Castelet des Crozes Apiary 

The castle of Castelet des Crozes, built at the end of the eighteenth century, is located at Castelnaudary in the Aude département (France). Originally it was a mediaeval dwelling with outbuildings. Maps dating from the eighteenth century show traces of a bee shelter and a covered apiary. The shelter is comprised of 9 compartments designed for bees, separated each 5m by reinforcements, along a supporting wall of an orchard and a vegetable garden. The hives, five in each compartment, were placed on large slabs of stone. The covered apiary, on the edge of the property, has a tiled roof with two sides, under which ten hives were placed on a bench measuring 10m, divided by a pillar supporting the roof. There are several questions concerning this apiary, and some attempts at replying to them have been made here.

Between Corbières and the Minervois in the Time of Trunk-hives

The Beekeeper and his Tools 

The first part of the text reminds us of what a beekeeper is, and what his work consists of. The second part describes his equipment and the tools he would have used in the relatively recent past, although no longer nowadays, particularly in Occitania. The author wonders whether the country beekeeper was a man, or woman, like other people: solitary, misanthropic, or a poet. Did he always use specific equipment? How did he go about smoking the bees out before retrieving their honey? What tools did he use for removing the honey frames, for cleaning them, for chasing the bees at the moment of the honey harvest, for capturing the swarms – especially when these had taken refuge somewhere very high up. How, and in what recipient, was the honey collected?

The Clay Beehive of Caves 

The discovery of broken pieces of clay at Caves, in the Aude département, made it possible to establish that they were part of a clay-coil beehive whose characteristics it was possible to define. This vertical hive was found among other hives made from wooden planks and cannot be confused with horizontal clay hives. Many theories have been advanced about this hive, which have led the author to look for answers in beekeeping literature and to ask the opinion of older beekeepers.The conclusion he draws is that once again research into traditional beekeeping is a game of chance, and there is always a danger that a channel that should have been explored has been neglected through ignorance.

The Mona Hive 

The popular fixed-frame hive adopted by the Ticinese Beekeeping Association (Switzerland) was developed by Agostino Mona in 1876. It is a mixed hive made of wood, capable of containing eight fixed frames laid out lengthwise, and, in the honey chamber above, nine mobile frames placed crosswise. This hive, which could be used by both “fixists” and “mobilists” alike, became, in the words of Henri Hamet, “a hive of reconciliation”.

Historical Evolution of the Beehive according to Ruttner 

At the 27th Congress of Apimondia in Athens in 1979, the Austrian entomologist Friedrich Ruttner gave a conference on the historical evolution of the beehive. Basing his theories on a considerable quantity of photographs and explanatory diagrams, he demonstrated the different processes which, over time, had led to various models of hive to end up with, round about 1850, those with mobile frames with an upper or lower opening.

Memories 

The author tells us two stories about the time when his beekeeping museum was open to the public. The first talks about things to be put in the category of “Enemies of Bees”.

The second relates how a little boy who had sprayed his father’s bees with paint was able to tell the distance they had travelled. 

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La Lozère y el Puy-de-Dôme, departamentos del Macizo Central francés

La naturaleza modela los paisajes en los que el hombre deja su impronta. La importancia del patrimonio apícola construido, como cualquier otro patrimonio autóctono, no puede comprenderse fuera del conocimiento de su contexto regional. Es por ello que hemos querido ubicar cada uno de los circuitos presentados en su entorno natural: relieve, clima, vegetación, y también en el ámbito de sus tradiciones y costumbres populares. La Lozère y el Puy-de-Dôme, departamentos del Macizo Central francés, tienen patrimonios apícolas muy diferentes. Orientado al sur en su parte cevenole, Lozere es una región que ha preservado su fauna y su flora. Las tradiciones apícolas permanecen bien asentadas. La apicultura ancestral con sus colmenas en troncos de castaño vaciados, poblados con abejas autóctonas y reagrupadas en corrales de piedraseca, conviven con la apicultura actual. El Puy-de-Dôme, región de los lagos, volcanes y fértiles praderas, se ha abierto progresivamente hacia la industrialización y mecanización agrícola, alrededor de las principales ciudades. Su patrimonio apícola tradicional, integrado con frecuencia en los edificios de viviendas o de explotaciones agrícolas, es hoy generalmente reemplazado por una apicultura moderna.

El colmenar de Castelet des Crozes 

El castillo de Castelet des Crozes, construido a finales del siglo XVIII, está situado en Castelnaudary, en el departamento de Aude (Francia).  Originariamente era una antigua residencia medieval con sus dependencias. Los planos del siglo XVIII nos muestran restos de un abrigo para abejas y de un colmenar cubierto. El abrigo se compone de 9 espacios reservados para las abejas, delimitados cada cinco metros por refuerzos construidos a lo largo de una pared que delimita una huerta. Las colmenas estaban situadas sobre grandes losas de piedra agrupadas de 5 en 5 en cada uno de los huecos. El colmenar cubierto, situado en el límite de la propiedad, tiene tejado a dos aguas de tejas, bajo el cual estaban colocadas diez colmenas sobre un bancal de diez metros de largo cortado por un pilar de sujeción del tejado.

Surgen ciertas preguntas relacionadas con este colmenar, y avanzamos algunas  hipótesis para sus repuestas.

Entre Corbières y Minervois en tiempos de las colmenas de cestería. 

El apicultor y sus herramientas 

La primera parte del texto nos recuerda lo que es un apicultor y cuál es su trabajo.

La segunda parte, por otro lado, describe el atuendo y las herramientas que se utilizaron en un pasado relativamente reciente, pero pasado, especialmente en Occitania. El autor se pregunta si el campesino apicultor era un hombre (o una mujer) como los demás, solitario, misántropo o poeta. ¿Usó siempre un equipo específico? ¿Cómo ahumaba a las abejas antes de extraer su miel? ¿Qué herramientas utilizaba para recolectar los panales, limpiarlos, y retirar las abejas en el momento de la recolección?   ¿Cómo recuperaba enjambres, especialmente cuando estaban posados a gran altura? ¿Cómo y en que recipientes se recolectaba la miel?

La colmena de terracota de Caves 

El descubrimiento de fragmentos de terracota, en las cuevas en el departamento de Aude, ha permitido determinar que formaban parte de una colmena de cerámica, cuyas características ha sido posible determinar.  Esta colmena vertical estaba entre las colmenas en tablas y no se puede confundir con las colmenas horizontales en terracota. Sobre este asunto se han planteado numerosas hipótesis, lo que ha llevado al autor a buscar respuestas en la literatura apícola, y en el testimonio de personas mayores. La conclusión a la que llega es, una vez más, que la investigación sobre la apicultura tradicional resulta siempre aleatoria y siempre existe el riesgo de que se descarte, por ignorancia, un camino que hubiera sido necesario explorar

La colmena Mona

La colmena popular de panales fijos adoptada por la Sociedad Tessinoise de Apicultura, fue puesta a punto por Agostino Mosa en 1876. Es una colmena mixta, en madera, que puede contener ocho panales fijos dispuestos en el sentido longitudinal, y en el alza de miel colocada encima nueve cuadros móviles colocados en el sentido de la anchura. Esta colmena que podía ser utilizada, tanto por los fijistas como por los movilistas, convirtiéndose así, en palabras de Henri HAMET, en “una colmena de reconciliación”.

Evolución histórica de la colmena desde Ruttner

Con ocasión del 27 congreso de Apimondia en Atenas en 1979, el entomólogo austriaco Friedrich Ruttner, dio una conferencia sobre la evolución histórica de la colmena. Apoyándose en buen número de fotografías y esquemas explicativos, mostró las vías que a lo largo del tiempo han conducido a diferentes modelos de colmenas, para llegar sobre 1850, a las colmenas de cuadros móviles con apertura superior o posterior.

Recuerdos

El autor nos cuenta dos anécdotas que nos remontan a los años e los que tenía abierto al público su museo de la apicultura. La primera nos habla de objetos a clasificar en el apartado “enemigos de las abejas”. La segunda relata como un muchacho que había rociado con pintura las abejas de su padre, pudo determinar la distancia que éstas pudieron recorrer.

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La Lozère e il Puy-de-Dôme, dipartimenti dem Massicio Centrale francese

La natura modella i paesaggi in cui l’uomo lascia la sua impronta. L’importanza del patrimonio apistico costruito, come di ogni altro patrimonio vernacolare, si può cogliere solo tramite la conoscenza del relativo contesto regionale. Per questo motivo abbiamo voluto ricollocare ciascuno dei due circuiti presentati nel proprio ambiente naturale: orografia, clima, vegetazione ma anche tradizioni e costumi popolari. La Lozère e il Puy-de- Dôme, dipartimenti del Massiccio Centrale francese, hanno dei patrimoni apistici molto differenti. Con un clima più meridionale nella parte sud-orientale, la Lozère è una regione che ha saputo preservare la sua fauna e la sua flora. Le tradizioni apistiche restano ben salde. L’apicoltura ancestrale coi suoi alveari scavati nei tronchi di castagno, popolati da api locali e raggruppati nei recinti di muri a secco, affianca l’apicoltura odierna. Il Puy-de-Dôme, regione di laghi, vulcani e pianure fertili, si è progressivamente aperto all’industrializzazione e alla meccanizzazione dell’agricoltura, intorno alle città principali. Il patrimonio apistico tradizionale, spesso integrato in costruzioni ad uso abitativo o agricolo viene oggi ampiamente sostituito dall’apicoltura moderna.

L’apiario di Castelet des Crozes 

Il castello di Castelet des Crozes, costruito alla fine del XVIII secolo, è situato a Castelnaudary, nel dipartimento dell’Aude (Francia). In origine era una vecchia costruzione medievale con le sue dipendenze. Le mappe del XVIII secolo ci mostrano tracce di un riparo per le api e  di un apiario coperto. Il riparo dispone di 9 nicchie destinate alle api, delimitate ogni 5 metri da  pilastri di rinforzo, lungo il muro di sostegno di un frutteto e di un orto. Grandi lastre di pietra sostenevano gli alveari che erano allineati in ogni nicchia. L’apiario coperto, situato sul confine della proprietà, ha un tetto di tegole a due falde, sotto il quale erano posizionati 10 alveari su un ripiano di 10 metri di lunghezza tagliati da un pilastro di sostegno del tetto. Diverse domande si pongono su questo apiario e alcuni elementi di risposta sono stati avanzati.

Tra Corbières e Minervois ai tempi dei bugni.

L’apicoltore e i suoi strumenti 

La prima parte del testo ci ricorda cos’è un apicoltore e qual è il suo lavoro. La seconda parte descrive il suo abbigliamento e gli strumenti che utilizzava in un passato relativamente recente, ma ora concluso, in particolare in Occitania. L’autore si domanda se il contadino-apicoltore fosse un uomo (o una donna) come gli altri, solitario, misantropo o poeta. Ha sempre utilizzato un abbigliamento specifico? Come  affumicava le api prima di recuperare il loro miele? Quali strumenti utilizzava per prelevare i favi, per ripulirli, per allontanare le api al momento della raccolta, per recuperare gli sciami, soprattutto quando erano posizionati in alto ? Come e in quale recipiente il miele veniva raccolto?

L’arnia in terracotta di Caves 

La scoperta di frammenti a Caves, nel dipartimento dell’Aude, ha permesso di individuare che facevano parte di un alveare in ceramica, montato sulla colombaia, di cui è stato possibile definirne le caratteristiche. Questa arnia verticale era tra alcuni alveari in assi e non può essere confuso con gli alveari orizzontali in terracotta.

Numerose ipotesi sono state avanzate su questo argomento, portando l’autore a cercare tracce di risposta nella letteratura apistica e con gli anziani. La conclusione che l’autore trae è che, ancora una volta, la tradizionale ricerca sull’apicoltura è aleatoria e c’è sempre il rischio che possa essere scartata per mancanza di informazioni una via che sarebbe stato necessario esplorare

L’alveare Mona 

L’arnia popolare a favi fissi adottata dalla Società di apicoltura ticinese è stata sviluppata da Agostino MONA nel 1876. È un’arnia promiscua, in legno, che può contenere otto favi fissi disposti nel senso della lunghezza e, nel melario sovrastante, nove telaini disposti nel senso della larghezza. Quest’arnia, che poteva essere utilizzata sia da « stanziali «che da “nomadisti »,diventa così, secondo Henri HAMET, “un alveare di compromesso”.

Evoluzione storica dell’alveare secondo Ruttner 

In occasione del 27 ° Congresso Apimondia ad Atene nel 1979, l’entomologo austriaco Friedrich Ruttner tenne una conferenza sull’evoluzione storica dell’alveare. Sulla base di molte foto e schemi esplicativi, ha mostrato i percorsi lungo i quali, nel tempo, si sono sviluppati diversi modelli di arnia per arrivare, intorno al 1850, alle arnie a telaini mobili con apertura superiore o posteriore.

Ricordi 

L’autore ci racconta due aneddoti che risalgono agli anni in cui il suo museo di apicoltura era aperto al pubblico. Il primo ci parla degli oggetti da classificare sotto il titolo “i nemici delle api”. Il secondo racconta di come un ragazzino, che aveva spruzzato le api di suo padre con la vernice, abbia contribuito a determinare la distanza che queste erano riuscite a percorrere

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Résumés du cahier

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